Mon Soumis De CUr - Les Baguettes Chinoises
Chers lecteurs, chères lectrices.
Aujourd'hui, je vous partage le récit d un homme que je vois occasionnelement depuis plus d un an, malgré les 800 kilomètres qui nous séparent. Je le porte dans mon cur, je l'admire pour son endurance, mais aussi sa grande bienveillance envers moi.
Connus lors d une soirée bdsm, nous nous sommes rapprochés lors d une séance de fouet, où il m a offert son corps, une première pour lui, et nous garderons ce souvenir à vie.
Partage ici d un instant de vie, une soirée hors du temps, loin du monde, où je me suis beaucoup amusée.
Bonne lecture.
J arrive à l adresse indiquée, après 4h non stop de route, sans pause, tant l'envie de profiter de chaque minute est grande.
Nos messages coordonnés sur la route me permettent de savoir que je n ai que 30 minutes pour me préparer avant ton arrivée.
Je me gare, retrouve notre maison habituelle éphémère d une nuit.
Code, clés en poche et affaires déposées à la va vite.
Je suis tes consignes à la lettre.
Je me déshabille et m atèle, nu : bougies allumées, musique d ambiance, je déplace le canapé et la table basse pour nous laisser le tapis à disposition.
Je prépare un plateau avec de quoi grignoter, devinant ton arrivée toute proche, j en frémis déjà et guette chaque son parvenant de la rue.
Nos verres de vin sont servis, l apéritif aussi, et je me place à 4 pattes sur le tapis, savourant chaque minute qui passe me rapprochant de toi.
Le son des graviers dans la cour dérangés par une voiture, la tienne, me sort de mon cocon et déjà je sens le désir de t apartenir.
Une portière s ouvre, puis claque. Et tes talons foulent la terrasse carrelée.
Mon souffle s emballe, tu es juste derrière la porte, que j entends s ouvrir, suivi du bruit de tes pas...
Je colle mon visage à terre, attendant un signe de toi, en ayant conscience de l indécence de ma tenue.
Tes jambes à nu, des escarpins rouges, une robe noire. Le reste est caché par mes testicules impatientes de toi.
Je te vois poser tes affaires dans l entrée.
Tu t avances vers moi, et t arrêtes à quelques centimètres de mes fesses offertes.
"Bonjour ma jolie chienne" me dis tu sur un ton souriant.
"Bonjour Maîtresse".
Je devine alors que tu te penches vers moi, sentant un filet de bave couler entre ma raie des fesses. Quelques secondes plus tard, tu m inséres ton pouce, et je me cambre. J ai tant envie que tu prennes possession de moi.
"déjà bien ouvert mon amour, patience, j ai faim d abord, sers moi".
Je te vois t'asseoir dans le canapé, prenant soin de remonter ta robe et écarter les cuisses, me laissant voir que tu ne portes pas de dessous.
Ta robe échancrée m offre une vue plongeante sur ta délicieuse poitrine, et tes lèvres rouges, tes lunettes et ta coiffure sage... J en suis tout excité. Je me permets un "tu es sublime Maîtresse" auquel tu me réponds en souriant et en me faisant signe de la tête d aller chercher l apéritif.
Je poursuis à 4 pattes jusqu'à la table, et je sens ton regard gourmand sur mon corps.
Tant bien que mal, je reviens vers toi à genoux en portant le plateau, que tu prends et pose à côté de toi.
Je reste à genoux, à tes pieds, docile, attendant que tu combles ta faim.
Tu décides de me nourrir differement et me demande "fais moi jouir avec ta langue".
Amusé, je te vois écarter les jambes, indécente et superbe.
Tu saisis ma nuque et m attire sur ton sexe, tiède et légèrement humide, en empoignant ton verre et prenant une première gorgée de vin.
Un premier gémissement franchit ta bouche, je ne sais si c est du au vin qui coule dans ta gorge ou à ma langue qui roule autour de ton clitoris, mais je m emploie à ne pas laisser de doutes en poursuivant mes caresses.
Je te leche goulument, j adore ton goût, il m avait manqué aussi.
Ma Maîtresse est en manque de plaisir et je suis là pour ça. Il n y a qu à voir comme tu cambres tes hanches, appuie sur ma nuque pour mieux enfoncer ma langue fermement en toi.
Je t aspire, je frotte mon visage, je leche, je suce, je mordille, je te sens décoller...
Je bave, je crache sans retenu, rien ne compte plus pour moi que de te sentir jouir, là.
Tu bascules ton visage en arrière en fermant tes yeux, je me sens tien, juste une bouche dévouée à ta jouissance...
Sans que tu ne me le demandes, je décide de compléter ton plaisir en t offrant mes mains.
Te sentant déjà loin dans ton plaisir, j y vais directement avec trois doigts que j enfonce loin et fort, comme tu aimes...
Ton cri de surprise plaisante m indique que j ai bien fait de prendre cette initiative, et tu écartes tes jambes encore davantage, en me plaquant plus fermement contre toi.
Tu ondules tes hanches, et je prends soin de suivre ton rythme avec mes doigts, profondément.
Tu accéléres la cadence, je peine à respirer tant je suis en toi... Que c est bon, j aime te sentir libre, pleine de désir, te fichant éperdument de la bienséance et ne pensant ainsi qu à toi.
Ton souffle s accélère, se coupe, reprend, me laissant deviner ton orgasme tout proche, juste là, sous mes doigts et ma langue.
J ajoute un quatrième doigt et m enfonce encore davantage, et tu tentes d échapper à mon emprise en criant et en te déplaçant. Je te connais du bout des doigts, tu m as appris à te faire jouir, et tu vas jouir, probablement gicler même, et tu ne veux pas me donner cette satisfaction... Pas si vite en tout cas. Mais moi je le veux, et comme tu ne peux reculer davantage, j en profite copieusement.
Ta main a relâché ma nuque, mais je poursuis comme si tu m enfonçais encore sur toi...
Et tu jouis. Ton sexe comprime mes doigts de maniere spasmodique, et je te vois gicler sur mon visage, fasciné par ce jet venu de nulle part...
Tu sanglotes presque... Je laisse mes doigts en toi ressortir extrêmement doucement, poussés par les contractions.
Et je te regarde, je souris. Que t es belle, yeux fermés, tremblante, fébrile, jambes écartées et dégoulinantes.
Tu serres ma main, je pose mon visage contre ta cuisse, attendant que tu reprennes tes esprits...
"salaud, je te déteste" me dis tu avec un tendre sourire.
Je ris, j ai retrouvé ma Maîtresse.
Tu me relèves, m attire à califourchon sur toi et m embrasse passionnément, sans doute stimulée par ma queue dure qui suinte contre ton ventre et le goût de nos fluides mêlés.
Brutalement, tu t interrompts. Tu reprends ton verre dans ta main, et me tends le mien, m invitant à revenir m asseoir à tes pieds. Nous parlons de nos vies, de tout et de rien, d un ton léger et complice. Nous grignotons et buvons. Nous sommes bien ensemble.
Mon téléphone nous interrompt, je te vois grimacer. Ma femme. Tu me fais signe de la tête, oui je peux répondre, mais je sens ton agacement. Je sors sur la terrasse, nu, malgré le froid, pour t épargner ma conversation.
Mais tu me suis, en prenant soin de remettre ta veste et prendre tes clopes en marchant sur la pointe des pieds pour éviter le bruit de tes talons.
Je suis très gêné, d habitude tu me laisses seul. Et me voilà à débiter mes mensonges, le boulot, la formation, l hôtel confortable, le macdo pris en route, la fatigue donc je ne te rappellerais pas ce soir, et comment va le chien, et ça a été ta journée. Mots doux, faux semblants...
Sans aucun doute le moment le plus humiliant que tu m aies fait vivre à ce jour.
Je raccroche, tu ne dis mot. Les volutes de ta cigarette s envolent dans la nuit, tu regardes les étoiles en m ignorant superbement.
Je tente une approche, me collant à toi dans ton dos en enfouissant mon visage dans ta nuque. Tu t y dérobes.
Tu t arraches à la contemplation du ciel, moi pas à la tienne.
Tu retires ta veste, ton gilet et tes escarpins tandis que je patiente sur le paillasson.
Puis tu te tournes vers moi en m adressant un sourire éclatant, comme si de rien n était et tes yeux brillent.
"Zou, à la douche" me dis tu en le lovant contre moi pour un baiser sur ma joue. Heureux de te retrouver, je pars devant, te laissant la vue sur mon cul que tu aimes tant.
Tu t assois sur la cuvette des toilettes, en m observant régler la température de l eau. Je me délasse, la mousse parfumée au citron me recouvre, en prenant soin de me mouvoir dans des poses avantageuses et tu n en perds pas une miette. Tu te lèves soudain et revient un instant après, avec une poire à lavement. Je ris...
Tu sais que je déteste ça devant toi. Mais le message est clair, je m exécute.
Je remplis la poire et la revisse, me l insert et presse un tiers. J aime bien la sensation de liquide chaud au fond de moi.
Mais je dois vider... Je m acroupis, et pousse, déversant l eau sale... Je recommence à plusieurs reprises, tes yeux rivés sur moi. Gênant mais excitant à la fois... Ton commentaire "et bien ce n était pas du luxe" me fait rire à nouveau. La garce. Oui, en effet, il fallait... Je ne sais pas ce que tu me réserves, mais je jubile déjà, sachant que quand tu me demandes un lavement, c est que tu as prévu de bien m élargir... Je nettoie la douche pendant que tu fais je ne sais quoi dans la maison et tu reviens nue, prête à me succéder.
Tu me congédies, m ordonnant d aller dans ta chambre, me préparer et t attendre. Je vole un baiser sur ta joue et te claque une fesse, tu ris. Je profite d un regard sur ton corps nu sous l eau. Je rêve d une douche avec toi, laver tes cheveux et ton corps... J espère avoir un jour ce privilège...
J entre dans ta chambre... Je souris en voyant sur le lit rouge mon collier gravé, 4 bracelets noirs en cuir, quelques chaînes pour les nouer entre eux, un flacon de lubrifiant et un sac opaque dont je ne vois le contenu.
Les godes de taille différentes ne sont pas sortis, je les imagine dans ta valise à malice. Dommage, j aurais aimé que tu me baises. Il semblerait que tu ais d autres projets, sûrement dissimulés dans le sac... Je résiste à la tentation de toucher.
J enfile aux poignets et aux chevilles les bracelets, j entend la douche qui se stoppe.
L envie de te rejoindre pour juste te regarder est grande, mais j obéis, m installant à 4 pattes sur le lit. Quelques minutes plus tard, tu me rejoins et je me tourne légèrement pour te voir, vêtue d un soutien gorge soyeux très échancré laissant apparaître la naissance de tes mamelons, une culotte assortie et maquillée de ton beau sourire rouge vorace.
Tu m observes, me tâte, plante tes griffes, palpe, claque, effleure. Je te sens t emballer, fougueuse... J adore...
Tu prends mes poignets, les relie dans mon dos accrochés par une chaîne courte, me laissant ainsi les épaules inconfortables et le visage enfoncé dans le matelas, me privant ainsi d une bonne partie de ma mobilité et de te regarder. Et sans doute mon cul bien en l air...
Tu approches tes lèvres de mon oreille et tes quelques mots me font durcir encore davantage, c en est presque douloureux...
"ma petite chienne, ce soir, j ai envie d essayer quelque chose de nouveau pour tous les deux et d assez original... Tu me laisses jouer ?"
Curieux, je te demande en quoi consiste ce nouveau jeu.
"oh, j ai juste envie de voir dans quelle mesure tu es capable de t élargir... C est OK ?"
Me voilà guère plus avancé, mais j accepte, j ai confiance en toi.
Tu ris en me disant "merci mon amour".
Je suis fou de toi.
Je te sens t asseoir derrière moi, probablement en tailleur et saisir le sac mystérieux.
Je devine que tu l ouvres, sans toutefois identifier de bruit pouvant me renseigner sur la nature de ce nouveau jeu.
Copieusement, tu recouvres mon anus offert de lubrifiant, c est froid, j adore. J adore plus encore quand tes mains chaudes étalent la substance glissante et s insérent délicatement en moi.
Tu entres facilement un doigt, puis deux puis trois je crois. Tu commences à aller et venir, prenant soin d appuyer ma prostate, ce qui me fait redurcir un peu, l inquiétude légère m ayant quelque peu diminué.
Tu resorts ensuite, et tu prépares quelque chose, je t entends remuer sans comprendre de quoi il s agit, toujours assise.
Je sens alors quelque chose entrer facilement en moi, c est tout fin et sans aspérités.
Tu laisses ça là, et gigote derrière moi, en tenant d une main mon nouveau visiteur, immobile.
Tu sembles alors y ajouter quelque chose, puis encore, puis encore, et encore...
Je comprends donc la manuvre... Il semblerait que tu te sois munies de petits bâtons et tente de m en introduire un maximum.
J éclate de rire en comprenant, et te demande "tu t amuses bien chérie ?"
Ce à quoi tu réponds "c est merveilleux, la vue est sublime, ne bouge pas, je suis loin d avoir terminé".
Alors tu poursuis, calmement, et je me sens de plus en plus possèdé, je sens mon cul s ouvrir très progressivement, avec une douceur jusque là jamais égalée.
Je commence peu à peu à me crisper, ça me semble beaucoup ouvert déjà... C est très excitant, mais la sensation est inhabituelle. Je grimace, ça commence à être douloureux, sans compter mes épaules et ma nuque mises à mal par la position...
Comme plusieurs fois depuis le début du jeu, tu me demandes si ça va d un ton coquin. Je te réponds que ça commence à tirer, et que j ai un peu mal.
J entends à ton "ohhh" une pointe de déception, mais tu n es pas du genre à abandonner...
Tu saisis ma queue d une main et me fait durcir rapidement, me decalottant vigoureusement en me faisant ressentir un grand plaisir.
Tu m abandonnes quelques secondes et je sens à nouveau de l activité dans mon cul, mais tu reprends ma bite pour poursuivre la montée de plaisir.
Et encore, tu poursuis...
Le plaisir de ta main qui me branle fermement allié à l écartement de mon trou plus ouvert que jamais me prodigue une délicieuse vague de plaisir, je m attends à ejaculer d un instant à l autre...
Mais tes petites pauses mikado m aident à tenir, à ne pas tout à fait m envoler dans l océan de l orgasme... Encore et encore.
Tu m encourages, tu m insultes, tu gémis de bonheur, et m insuffle du courage tout en poursuivant ton petit jeu branlette / baguette.
J appréhende de craquer, ça me tiraille de l intérieur, j ai peur pour mon trou. Mais, je devine ton regard admirateur, satisfait, gourmand, pervers à souhait... J aimerais tant te voir, là.
Puis tu ne joues plus avec mon cul, gardant simplement une main sur ta trousse, tu me branles énergiquement, je sens l orgasme proche. Je t en informe au cas où tu ne l aurais pas senti. Alors tu t arrêtes d un coup.
Je te sens te reculer, descendre du lit. Tu me demandes de ne pas bouger. J apprendrais plus tard que tu faisais une séance photo rapide... Garce ! Et tu reviens et reprends de plus belle la branlette, je sens cette fois tes gros seins reposer contre mes fesses, maintenant le package de bâtons et tu me masturbes de tes deux mains, alternant les sensations, jouant avec ma queue qui coule beaucoup...
Je m envole, je pars dans un superbe moment de jouissance en sentant ta lourde poitrine m écraser, mon cul plus ouvert que jamais et ma bite entre tes doigts. "jouis ma putain" me dis tu... Évidement, je me lâche et arrose généreusement les draps, submergé par un torrent d émotion.
Je reprends peu à peu mes esprits, et cette fois, mon cul est atrocement douloureux. Je gémis de douleur maintenant et tente de redresser mes épaules meurtries.
Tu me libéres les poignets et reprends un ton tout doux et tendre en me caressant le dos : "ça va chéri ?" Je grogne en m étirant, je sens le paquet dans mes fesses être repoussé.
Tu le retires très délicatement, mais aie, ce n est pas encore gagné...
Partage entre l état de béatitude de cet orgasme incongru et la douleur de mon cul, je ne sais plus trop où j en suis et m écroule sur le dos dans ton lit.
Tu rigoles de bon coeur, et viens prendre mon visage contre tes seins sortis du soutien gorge. Je m y noie, mes mains les pétrissent, et je ressens tes frissons quand je m attarde sur un téton. Quel délice...
En chuchotant, tu me dis merci, tu me dis bravo, tu me dis que j étais très courageux, tu me dis que j étais superbe, tout en caressant mon crâne nu et en te laissant tripoter sans protester, en riant.
Et moi je souris.
"Merci à toi Maîtresse, tu es folle, je t aime" en ponctuant mes mots de baisers fous.
Les minutes passent, je ne sens plus mon corps, et je suis bien. Je me sens vidé d énergie, et me détends pleinement, apaisé dans tes seins si accueillants... J ai envie de m y endormir...
Je te le demande d ailleurs et tu atts mon visage pour me regarder droit dans les yeux.
"Non, tu sais bien... D abord, je veux tes doigts, fais moi jouir, encore."
J ai envie de te faire l amour, te baiser aussi, de t épuiser pour que tu n ais d autres choix que de t endormir là, avec moi, contre moi.
Mais c est exclu. Alors, je glisse mes doigts sous ta culotte.
Tu es trempée, visiblement, ça t a plu de m ouvrir ainsi... Je rentre directement mes doigts au fond de ton sexe, fort, puissamment, comme tu aimes tant. Je te force de quatre doigts, tu bascules ta tête en arrière en m ordonnant d y aller doucement... Mais tes jambes ouvertes et ton bassin qui s incline me disent tout le contraire...
Je commence à entrer et sortir brusquement, et tu poursuis tes "doucements" en y ajoutant quelques insultes et essayant de reculer.
Mais je te tiens, tu ne peux plus bouger, je m appuie sur toi de tout mon corps et mes dents se referment sur ton téton gonflé. Tu m appartiens, en faisant mine de t y soustraire, en réclamant de la douceur... Ma belle Maîtresse gourmande, aux allures si prude...
Je te baise de mes doigts, m imaginant le même scénario avec ma queue... J appuie là où tu aimes tant, avec fougue et perversité...
Et tu jouis autour de mes doigts, presque silencieusement, mais tu contractes... J ai encore gagné...
Je ne bouge plus, restant au fond de toi, relâchant très doucement ton téton mâle-traité.
Tu me pousses brusquement, te resaisissant plutôt que de rester dans la tendresse que j aime tant, nos après, si câlins...
"allez, dans ta chambre, au lit, dégage,je ne veux plus te voir. Et ramasse les baguettes, tu les comptera avant de dormir. "
Tu es furieuse, je sais que tu m aimes autant que tu me détestes, tes yeux devenus noirs m encouragent à m exécuter, même si je rêve de te retourner là, à quatre pattes... Je n en ferais rien évidemment...
Nous passerons encore une nuit séparée, mais je ne désespére pas qu un jour, je puisse te voir apaisée à mes côtés.
Merci Maîtresse, pour ce que tu me donnes.
"et c est déjà beaucoup".
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